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14 sept. 2022 • il y a 7 heures • 4 minutes de lecture • 51 commentaires
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Quelqu’un dans la presse aurait dit à quelqu’un du camp conservateur de dire au nouveau chef de leur parti, Pierre Poilievre, de « se faire foutre ».
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D’une certaine manière, cela semblait un scénario approprié pour le premier jour de Poilievre contre Trudeau.
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Poilievre est sur le pont mardi pour parler du coût de la vie meurtrier qu’il surnomme JustinFlation, après le premier ministre Justin Trudeau.
Je sais. Je sais, je n’ai pas à expliquer le bâillon.
Lors du rassemblement des journalistes, le responsable de la presse de Poilievre, un homme du nom d’Anthony Koch, a déclaré que le journaliste de longue date David Akin lui avait dit de dire à Poilievre d’avoir des relations charnelles avec lui-même.
Sur les réseaux sociaux, ce gars de Koch nous dit qu’Akin a largué la bombe F en exprimant son sentiment.
Poilievre commence à parler.
On dit aux journalistes que Poilievre ne répondra pas aux questions. Le chef conservateur n’a pas répondu aux questions la veille.
Au moins un newshound veut ses croquettes et est prêt à aboyer pour cela.
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Akin pose une question pendant que Poilievre parle.
Pendant que Poilievre parle, Akin continue d’essayer de crier sur lui.
«Nous avons essentiellement un chahuteur libéral qui s’est faufilé ici aujourd’hui», déclare Poilievre.
Akin riposte en insistant sur le fait qu’il n’est pas un chahuteur libéral.
« Je ne vous ai jamais vu chahuter le premier ministre auparavant », dit Poilievre.
Akin veut savoir s’il répondra aux questions. À ce stade, je suis sûr qu’Akin sait que Poilievre ne répondra pas à ses questions.
Le chef conservateur dit qu’il répondra à deux questions à la fin de sa déclaration et recommence, « j’espère que cette fois sans interruption du rassemblement de chahut libéral ici.
Mardi soir, de nombreuses personnes avaient appelé Akin et lui avaient dit qu’il était impoli et irrespectueux.
Akin s’est excusé.
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Dans la déclaration de Poilievre, il s’en prend à Trudeau, choisissant un terrain familier, le billet qui l’a amené au spectacle.
Le chef conservateur nouvellement élu a déclaré que le Premier ministre avait finalement admis que l’inflation était un problème et avait tenu une conférence de presse le lendemain du jour où le chef conservateur avait défié le Premier ministre de s’engager à ne pas augmenter les impôts.
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Trudeau ne s’engage pas. Poilievre s’engage à mener la charge contre les augmentations d’impôts.
Trudeau dépense. Le Premier ministre dit que c’est pour les plus vulnérables.
Poilievre dit que ce sont des cacahuètes et qu’il ne s’attaque pas de front à la crise du coût de la vie.
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“L’argent sera vaporisé par l’inflation”, dit-il.
Mardi, Trudeau revient sur ses moments les plus heureux lorsqu’il a remporté un gouvernement majoritaire en 2015.
« Voies ensoleillées, mes amis. Voies ensoleillées », pour citer le discours de victoire du Premier ministre.
Trudeau sonne comme s’il voulait une suite, dépoussiérant l’ancien scénario.
Un peu comme ce qu’ils font à Hollywood quand ils sont à court d’idées.
Trudeau dit que les conservateurs fédéraux sont coincés dans le genre de pensée que les libéraux ont vaincu il y a sept ans.
Il dit que les conservateurs veulent faire croître l’économie en favorisant les plus riches et ne s’inquiètent pas si l’argent retombe même sur le reste d’entre nous.
“Le parti conservateur s’attache à nous ramener à une époque idéalisée qui n’a jamais existé et qui n’existera certainement plus jamais.”
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En parlant d’époques idéalisées qui n’existent jamais et qui n’existeront certainement pas à nouveau, peut-être que Trudeau pourrait expliquer ses rêves utopiques insensés, ceux que d’autres considèrent comme des cauchemars.
Le Premier ministre est le maître boulanger de la politique au son doux et aux calories vides, fouettant le même plat, peu importe la fatigue du menu et le prix des cueillettes.
Trudeau saute sur son cheval de bataille lorsqu’on lui demande si l’ascension de Poilievre influence sa décision de rester et de se battre.
Après tout, il dit qu’il est enthousiasmé par « la possibilité de continuer à offrir aux Canadiens des moyens très concrets ».
J’avais peur de ça.
Trudeau parle de diverses formes de populisme en hausse, basées sur la colère et la mésinformation et la désinformation.
Au fait, qu’en est-il de la colère, de la bonne indignation juste à l’ancienne basée sur de vraies informations ?
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Les informations nous sont souvent trompées par ceux qui sont au pouvoir. Trompé, trahi, tenu dans l’ignorance, ignoré.
De nombreux mouvements sociaux se sont nourris de la colère. Colère justifiée.
Depuis quand la colère est-elle devenue un gros mot ?
Trudeau est interrogé sur son rôle dans la division des Canadiens. Voici venu COVID.
“Si les gens appellent le respect de la science et le maintien et la défense des faits des sources de division, peut-être que les gens doivent jeter un coup d’œil à ceux qui disent cela.”
Parle-t-il de gens comme Poilievre?
Revenons à sa victoire électorale il y a sept ans et à la façon dont Trudeau pense que la prochaine bataille électorale se déroulera avec lui «menant les conversations».
Autonomiser les gens pour un avenir meilleur. Dans sa tête, c’est lui.
Amplifier les craintes pour un gain à court terme. Dans son esprit, c’est Poilievre.
«Cela ressemble au genre de conversations que nous avons eues lors des élections de 2015», déclare Trudeau.
“Il semble que ce soient les mêmes types de conversations que nous devrons avoir à nouveau.”
Dites-moi, s’il vous plaît, dites-moi que les Canadiens ne seront plus dupes.
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