Les (nombreuses) aventures cinématographiques de Tintin

Il est temps de faire l’éloge de l’un des rares films d’animation entièrement mocap à dégager l’étrange vallée.

Paramount Pictures

Par Meg Shields · Publié le 26 novembre 2021

Bienvenue dans The Queue – votre distraction quotidienne de contenu vidéo sélectionné provenant de partout sur le Web. Aujourd’hui, nous regardons un essai vidéo sur l’héritage cinématographique du film 2011 de Tintin et Steven Spielberg Les Aventures de Tintin.


Bien qu’étant un phénomène mondial, Les Aventures de Tintin jamais vraiment pris aux États-Unis. Créé par le dessinateur belge Georges Remi, qui a écrit sous le pseudonyme Hergé, les aventures du boy-scout ont été publiées dans plus de 70 langues avec des ventes de bandes dessinées dépassant les 200 millions d’exemplaires. Et il faut se demander si l’échec (tempéré) de Tintin gagner des yankees a à voir avec l’absence d’un Tintin film.

Hergé a toujours été prudent lorsqu’il s’agissait d’adaptations cinématographiques de son travail et pour cause, il s’avère. Il y a eu six Tintin films au total : une production en stop-motion, deux films d’action réelle, deux films d’animation traditionnelle, puis, après quarante ans d’interruption, 2011 Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne. Réalisé par Steven Spielberg, qu’Hergé considérait personnellement comme le seul homme pour le poste, Spielberg s’est associé à Peter Jackson Weta Digital pour créer l’un des rares films 3D de capture de mouvement pour éviter de foncer dans l’étrange vallée. Alors, qu’est-ce que c’est que cet écart de 40 ans ?

Il y a un certain nombre de rides qui font Tintin un sujet difficile à adapter. Alors que le fan de cinéma muet Hergé considérait lui-même ses bandes dessinées comme des « films sur papier », des particularités inhérentes à la réalisation Tintin, bien…Tintin, ont l’habitude de passer entre les mailles du filet. L’essai vidéo ci-dessous offre un aperçu approfondi des raisons pour lesquelles Tintin est un sujet si délicat à adapter, y compris la nécessité moderne de lutter contre les aspects les plus inconfortables de l’héritage d’Hergé (y compris les stéréotypes raciaux et l’ethnocentrisme). L’essai sert d’exemple détaillé de la façon dont une adaptation comme Le secret de la licorne peut réussir en restant hors de l’ombre de son créateur, en discutant avec plutôt que À propos Hergé, et le sentiment qu’ils ont la liberté de faire leur propre truc tout en respectant leur source.

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Regardez « Les Aventures de Tintin et l’ombre des géants » :


Qui a fait cette?

Cette vidéo sur l’héritage cinématographique de Tintin est de Jace, alias PAIN DE PAIN, un essayiste vidéo basé à LA qui se spécialise dans les lettres d’amour longues et nostalgiques. Impeccablement édités et plus fluides que le beurre, les essais BREADSWORD présentent une coupe décontractée sans précédent et un ton narratif expressif. Les longs essais comme celui-ci prennent beaucoup de temps à préparer, et d’une manière ou d’une autre, BREADSWORD donne l’impression que tout est sans effort. Vous pouvez vous y abonner sur YouTube ici. Et vous pouvez les suivre sur Twitter ici.

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Sujets associés : Animation, La file d’attente

Meg Shields est l’humble garçon de ferme de vos rêves et un contributeur principal à Film School Rejects. Elle dirige actuellement trois rubriques chez FSR : The Queue, How’d They Do That? et Horrorscope. Elle est également conservatrice pour One Perfect Shot et rédactrice indépendante à embaucher. Meg peut être trouvée en train de crier à propos de « Excalibur » de John Boorman sur Twitter ici : @TheWorstNun. (Elle/Elle).

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