Opinion | Comment l’AP a fait du tort à Emily Wilder

Comme nous l’avons dit, bien qu’AP s’abstienne généralement de commenter les questions de personnel, nous avons confirmé jeudi les commentaires d’Emily Wilder selon lesquels elle avait été licenciée pour avoir enfreint la politique de médias sociaux d’AP pendant son séjour chez AP.

Nous comprenons que d’autres organes de presse n’ont peut-être pas pris la même décision. Alors que de nombreux organes de presse offrent des points de vue, des chroniqueurs d’opinion et des éditoriaux, AP ne le fait pas. Nous n’exprimons pas d’opinion. Notre fondement est la production de rapports impartiaux et factuels.

Parce que nous sommes une organisation de presse mondiale, nous reconnaissons qu’exprimer une opinion dans une partie du monde peut compromettre notre capacité à rapporter une histoire dans une autre. Cela peut limiter notre accès aux sources et aux informations. Dans certains cas, cela pourrait mettre en danger nos journalistes sur le terrain. Nous faisons donc de notre mieux pour nous protéger même contre la perception de partialité.

À cette fin, chaque journaliste AP est responsable de la sauvegarde de notre capacité à rendre compte avec équité et crédibilité. Nos valeurs et principes d’actualité, y compris nos directives relatives aux médias sociaux, existent pour garantir que les commentaires d’une seule personne ne peuvent mettre en péril notre journalisme ou nos journalistes.

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