Post Malone – Maux de dents de douze carats | Commentaires

Post Malone – Maux de dents de douze carats |  Commentaires

Poste Malone a toujours partagé les opinions. Indéniablement réussi, sa légion de fans est rejointe par un éventail apparemment égal de haineux – pour certains, c’est une idole; pour d’autres, un vautour de la culture. « Twelve Carat Toothache » est dominé par la dualité, des titres des chansons – « I Like You (A Happier Song) » à « I Cannot Be (A Sadder Song) » – jusqu’au contenu lyrique, qui oscille entre sa réputation et la réalité. .

C’est un concept intrigant, mais la réalité est mitigée et étrangement floue. Un retour à succès, le casting de l’album comprend tout le monde, de Doja Cat à Fleet Foxes, en passant par The Weeknd, Gunna, Roddy Ricch, et le Kid LAROI. Personne ne peut nier l’attrait commercial de Post Malone, mais “Twelve Carat Toothace” semble souvent incertain de ce qu’il faut faire de cet illustre passé.

S’ouvrant sur la confrontation “Reputation”, le disque se transforme ensuite en brouilleur de verrouillage “Cooped Up”, tous des effets vocaux maladifs et une production au niveau de l’arène. C’est impétueux mais émouvant, et l’un des moments les plus forts de l’album. En effet, « Twelve Carat Toothache » est souvent à son meilleur lorsque Post abandonne simplement les faux-semblants – les notes acoustiques de « Lemon Tree » ou l’ouverture rafraîchissante de « Waiting For A Mirace ».

Dans l’ensemble, cependant, il semble souvent confus, l’arc alourdit les spots d’invités envoyés par la poste et les collaborations obtuses. « Love/Hate Letter To Alcohol » oscille entre les raps de Post et – bizarrement – ​​la voix de Robin Pecknold de Fleet Foxes, tandis que Doja Cat semble perdu sur le mousseux « I Like You (A Happier Song) ».

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«Wasting Angels» savoure ces accords brillants des années 80, un thème qui revient sur le lien Weeknd avec «One Right Now; Abel a depuis longtemps maîtrisé ses atmosphères de stade teintées de néon, mais cela ressemble à du remplissage dans son catalogue, une chanson qui ne correspond pas aux sommets récents.

Clôturant par une note vocale brute, Post Malone se termine en revenant sur les périodes de malaise de verrouillage et de blocage de l’écrivain. En effet, il est tentant de voir l’intégralité du disque à travers cet objectif ; une série de 14 pistes plus traditionnelle à laquelle nous sommes habitués, elle ne puise pas dans les largesses de l’expérience de streaming moderne ni n’établit le format d’album succinct de l’ancien. Ni une chose ni une autre, le manque de définition sur le projet se traduit par quelque chose de discrètement rebelle, mais curieusement insatisfaisant.

5/10

Mots: Robin Murray

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