REGARDER: L’ancien ministre pakistanais et assistant d’Imran Khan, Fawad Chaudhry, s’effondre et pleure lors d’une émission de télévision en direct | Nouvelles du monde

REGARDER: L’ancien ministre pakistanais et assistant d’Imran Khan, Fawad Chaudhry, s’effondre et pleure lors d’une émission de télévision en direct |  Nouvelles du monde

ISLAMABAD : UN La vidéo de l’ancien ministre pakistanais Fawad Chaudhry, qui a récemment été libéré de la prison d’Adiala après qu’un tribunal d’Islamabad l’a libéré sous caution dans une affaire de sédition, a fait le tour des réseaux sociaux. Fawad Chaudhry, qui est également un proche confident de l’ancien Premier ministre pakistanais Imran Khan, peut être vu en train de sangloter et d’essuyer ses larmes dans la vidéo virale, qui est largement partagée sur Twitter.

L’ancien ministre pakistanais de l’Information s’est effondré et a été vu en train de pleurer et d’essuyer ses larmes tout en se remémorant sa détention en prison après son arrestation dans l’affaire de sédition. L’incident s’est produit lors d’une émission télévisée en direct sur le programme “Off the Record” de la chaîne d’informations ARY.

On a demandé au chef du PTI comment il se sentait après son arrestation et comment sa famille parvenait à faire face à la situation. Se souvenant de ces moments difficiles, Fawad Chaudhry a déclaré que cela lui faisait mal chaque fois que ses enfants venaient le voir en prison.

Au cours de l’émission, le leader du PTI a également décrié la façon dont il a été arrêté et amené devant le tribunal menotté et la tête couverte. Chaudhry a affirmé que les flics lui avaient dit qu’ils avaient des ordres clairs de l’arrêter lorsqu’il s’est renseigné sur les mandats. Il a également affirmé que les flics lui avaient également arraché son téléphone portable lors de son arrestation, qu’il n’a pas encore récupéré.

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Chaudhry a été arrêté pour avoir « menacé » des membres de la commission électorale pakistanaise. Sa demande de libération sous caution a été accordée par le tribunal d’Islamabad à la condition qu’il s’abstienne d’utiliser un langage similaire pour dénigrer une institution constitutionnelle.

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