Un juge fédéral a commandé l’ancien vice-président Mike Pence à témoigner dans l’enquête du conseil spécial sur Donald Trump.
Jack Smith a été nommé en novembre conseiller spécial pour enquêter sur le rôle de Trump dans le Attaque du 6 janvier et sa garde de centaines de documents classifiés à sa Mar-à-Lago domaine. Trump a nié à plusieurs reprises tout acte répréhensible.
Pence, qui a précédemment déclaré qu’il refuserait de témoigner, peut refuser de répondre aux questions sur ses actions lors de l’insurrection du 6 janvier, NBC news signalé. Il peut également faire appel de la décision.
L’ordonnance du juge, qui est toujours scellée, est une victoire majeure pour Smith, qui se rapproche lentement de Trump et du cercle restreint de l’ancien président. Forgeron cité à comparaître Pence début février, ce qui est logique étant donné que Pence est un témoin clé à la fois des événements du 6 janvier 2021 et de l’état de Trump qui les a précédés.
Mais Pence argumenté qu’il est protégé de témoigner par la “clause de parole ou de débat” de la Constitution. Ce objet de la clause est de protéger les membres du Congrès contre l’utilisation contre eux de ce qu’ils disent pendant les activités législatives dans le cadre de poursuites judiciaires. Le juge James Boasberg du tribunal de district américain de Washington, DC, a jugé que Pence bénéficiait de certaines protections limitées mais n’était pas à l’abri de témoigner.
Pence n’a pas encore indiqué s’il coopérera avec l’ordonnance du juge, mais il a refusé à plusieurs reprises témoigner lors des enquêtes précédentes du 6 janvier – malgré le fait que les émeutiers voulaient le pendre, ce que Trump aurait estimé être mérité.
L’ancien vice-président envisagerait en cours pour le poste le plus élevé en 2024, il a donc hésité à s’aliéner la base de Trump. Témoigner contre Trump le ferait sûrement.
Trump a également revendiqué le privilège exécutif dans l’enquête, mais jusqu’à présent, ses efforts pour se protéger ont ne va pas bien.
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