Netanyahu, quant à lui, mercredi fièrement assuré qu'”Israël était, est et restera toujours une fière démocratie au cœur du Moyen-Orient”. Il a ensuite rejeté les protestations massives contre son plan de refonte judiciaire, qui aiderait à cimenter le pouvoir de son propre gouvernement et l’aiderait potentiellement à éviter les enquêtes sur la corruption, car «un débat public très intense.”
Israël, bien sûr, est pas une démocratie florissante, car il opère sur un système d’apartheid qui cible des millions de Palestiniens. Il serait laborieux de résumer ici toutes les cruautés de cette occupation, ou le rôle de Netanyahu dans leur promotion, mais jusqu’à présent cette année, les forces israéliennes ont tué au moins 90 Palestiniensdont 17 enfants (soit une moyenne d’au moins un Palestinien par jour).
Premier ministre italien Meloni parlait avec enthousiasme que « seul un système démocratique » peut garantir « la croissance, la justice, l’égalité, [and] légalité.” Mais elle s’oppose au droit à l’avortement et au mariage homosexuel et a déclaré qu’elle voulait le faire inconstitutionnel pour les homosexuels d’adopter un enfant. Elle a opposé une loi de 1993 punissant les personnes impliquées dans la discrimination raciale, ethnique et religieuse ou l’incitation à des crimes haineux. Elle a des opinions anti-immigrées et nationalistes endémiques et a alimenté des conspirations antisémites et racistes liées à George Soros et au «excellent remplacement” théorie nationaliste blanche.