La Direction de l’application de la loi interroge le ministre du Bengale occidental et chef du TMC, Partha Chatterjee, dans le cadre de l’affaire d’escroquerie au recrutement de la SSC.
Partha Chatterjee, ministre du Bengale occidental (photo d’archives)
La Direction de l’application de la loi interroge le ministre du Bengale occidental et chef du TMC, Partha Chatterjee, à son domicile dans le cadre de son enquête sur l’affaire d’escroquerie au recrutement de la Commission des services scolaires (SSC).
Accompagnés de jawans des forces centrales, huit responsables de l’ED sont entrés dans la résidence de Partha Chatterjee vers 8 heures du matin vendredi matin.
Les responsables de l’ED ont également lancé un raid sur la résidence de Paresh Adhikari dans le district de Cooch Behar. Les deux ministres ont été interrogés par la CBI pendant des heures dans l’affaire d’escroquerie au recrutement de la SSC.
Le 29 juin, l’ED a ouvert une enquête sur des allégations de blanchiment d’argent dans le recrutement d’enseignants et de personnel non enseignant pour les écoles subventionnées par l’État. Deux FIR ont été déposées par l’agence fédérale d’enquête.
On soupçonne que des transactions d’une valeur de plusieurs millions de roupies ont été effectuées pour la nomination d’enseignants recrutés par l’intermédiaire de la SSC. Plusieurs personnes influentes ont été citées dans l’affaire.
La Haute Cour de Calcutta avait précédemment observé qu’un comité de surveillance de haut niveau, approuvé par Partha Chatterjee, était à l’origine de l’escroquerie présumée. Le banc avait ordonné une enquête de la CBI sur le processus de recrutement des enseignants dans les écoles subventionnées par l’État après que les membres du comité supervisant le processus à partir de janvier 2019 aient fait des observations contradictoires devant le tribunal.
Chatterjee a comparu deux fois devant la CBI pour un premier interrogatoire le 18 mai, puis le 25 mai. Selon des sources, il a peut-être été interrogé sur la raison de la formation du comité consultatif de la SSC et sur qui en avait le contrôle. Il aurait informé le CBI lors de son interrogatoire qu’il avait formé le comité mais qu’il n’avait aucun contrôle sur lui.
— PREND FIN —