Technologie autoritaire et drones de construction de tours

Technologie autoritaire et drones de construction de tours

Malgré les assurances du président Biden lors de la réunion des Nations Unies de mercredi que les États-Unis ne recherchent pas une nouvelle guerre froide, une se prépare entre les autocraties et les démocraties du monde – et la technologie l’alimente.

À la fin de la semaine dernière, l’Iran, la Turquie, le Myanmar et une poignée d’autres pays ont pris des mesures pour devenir membres à part entière de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), une alliance économique et politique dirigée par les régimes autoritaires de Chine et de Russie.

La majorité des pays membres de l’OCS, ainsi que d’autres États autoritaires, suivent l’exemple de la Chine et tendent vers davantage d’abus des droits numériques en augmentant la surveillance numérique de masse des citoyens, la censure et le contrôle de l’expression individuelle.

Et tandis que les démocraties utilisent également des quantités massives de technologies de surveillance, ce sont les relations commerciales technologiques entre les pays autoritaires qui permettent la montée du contrôle social numérique. Lire l’histoire complète.

—Tate Ryan-Mosley

Regardez cette équipe de drones imprimer une tour en 3D

Les nouvelles: Un mini-essaim de drones a été formé pour travailler ensemble pour imprimer en 3D des tours simples. Inspiré par la façon dont les abeilles ou les guêpes construisent de grands nids, le processus fait travailler plusieurs drones ensemble pour construire à partir d’un seul plan, l’un vérifiant essentiellement le travail des autres au fur et à mesure.

Comment ça fonctionne: Un drone dépose une couche de matériau de construction et l’autre vérifie l’exactitude de tout ce qui a été imprimé jusqu’à présent. Les drones sont entièrement autonomes en vol, mais ils sont surveillés par un humain qui peut intervenir si les choses tournent mal.

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Pourquoi est-ce important: Un jour, la méthode pourrait aider à des projets difficiles tels que la construction post-catastrophe ou même des réparations sur des bâtiments trop hauts pour y accéder en toute sécurité, espère l’équipe derrière elle, et pourrait construire des bâtiments dans l’Arctique ou même sur Mars. Lire l’histoire complète.

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