واعترف الرجل البالغ من العمر 52 عاماً بتهمة التآمر للحصول على معلومات تتعلق بالدفاع الوطني ونشرها.
-->L’homme de 52 ans a plaidé coupable de complot en vue d’obtenir et de diffuser des informations liées à la défense nationale.
Assange a déclaré: “Je suis coupable de l’information”, puis a déclaré en plaisantant au juge pendant la procédure que le degré de sa satisfaction “dépend de l’issue de l’audience”, selon ce qui a été rapporté par l’Agence France-Presse.
Le fondateur du site WikiLeaks est arrivé mercredi sur cette île américaine isolée de l’océan Pacifique, où il a comparu pour la dernière fois devant un tribunal pour fermer la page d’une longue série de poursuites judiciaires, une démarche qui lui a ensuite permis de revenir librement vers son pays, l’Australie.
Cela s’est produit après que WikiLeaks a annoncé hier mardi que son fondateur avait été libéré sous caution de la prison de Londres, où il est resté détenu pendant cinq ans alors qu’il tentait de résister à son extradition vers les États-Unis, qui cherchaient à le poursuivre légalement pour avoir révélé des informations militaires. secrets.
Drame judiciaire
Il convient de noter que les États-Unis avaient cherché à poursuivre Assange en justice pour avoir publié des secrets militaires sur les guerres en Irak et en Afghanistan.
Un grand jury fédéral a porté 18 accusations formelles contre Assange en 2019 liées à la publication par WikiLeaks d’un groupe de documents liés à la sécurité nationale.
Assange est détenu à la prison de Belmarsh, soumise à des mesures de haute sécurité, à Londres depuis avril 2019.
Un tribunal britannique accorde au fondateur de WikiLeaks le droit de faire appel de sa décision d’extradition vers Washington
Il a été arrêté après avoir passé sept ans à l’ambassade d’Équateur à Londres pour éviter d’être extradé vers la Suède, où il faisait face à des accusations d’agression sexuelle qui ont ensuite été abandonnées.
Les documents qu’il a publiés comprenaient un enregistrement vidéo montrant des civils tués par les tirs d’un hélicoptère américain en Irak en 2007. Parmi les victimes figuraient un photographe et un chauffeur travaillant pour Reuters.
Les États-Unis ont porté plainte contre lui en vertu de la loi sur l’espionnage de 1917, qui, selon ses partisans, pourrait conduire à une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 175 ans.
Jusqu’à ce que le gouvernement britannique accepte de l’extrader en juin 2022.