Serie A | L’Inter à nouveau leader après sa victoire à la Fiorentina (0-1)

Serie A | L’Inter à nouveau leader après sa victoire à la Fiorentina (0-1)

L’Inter reprend les commandes de la Serie A. Les hommes de Simone Inzaghi ont réussi une belle opération en s’imposant, au stade Artemio Franchi, face à la Fiorentina (0-1), dans le choc de la 22e journée de Serie A. Un succès acquis grâce à son capitaine Lautaro Martinez, auteur de l’unique but de la partie. Au classement, les Nerazzurri comptent désormais 54 points. Soit une longueur de mieux que la Juventus, qu’ils accueilleront dimanche prochain.

Les Interistes ont rapidement pris un ascendant dans ce match. Il ne leur a fallu qu’un petit quart d’heure pour ouvrir le score. Sur un corner obtenu après un sauvetage miraculeux de Faraoni, Lautaro Martinez a repris victorieusement le ballon de la tête au premier poteau dans les six mètres (0-1, 14e). Un but en guise de coup de massue pour les joueurs de la Viola qui avaient très bien démarré la rencontre.

Sommer provoque et arrête un penalty

Car la Fiorentina a joué crânement sa chance, en pressant haut son adversaire et en se projetant autant que possible vers l’avant. Elle s’est procuré quelques bonnes opportunités jusqu’à la pause. Comme une frappe de Bonaventura parfaitement repoussée par Sommer (34e) ou une tentative de près de Nzola contrée par un tacle de Bastoni (45e+1). Des efforts vains. Surtout qu’après la pause, l’Inter a fait parler sa maitrise presque totale.

Les Nerazzurri ont très bien contrôlé la suite de la rencontre et n’ont jamais véritablement semblé inquiétés. A une situation près, presque anodine au départ. Quand Yann Sommer a percuté la tête de Nzola avec ses poings en voulant dégager un ballon aérien. L’arbitre a alors sifflé une penalty indiscutable. Mais Nicolas Gonzalez, à peine entré en jeu, a véritablement gâché cette balle d’égalisation en tirant beaucoup trop mollement (77e). Le portier suisse, parti du bon côté, n’a eu aucune difficulté pour capter le ballon et se rattraper de son erreur. De quoi signer une cinquième victoire consécutive toutes compétitions confondues.

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