Récemment, la police a été confrontée à un problème supplémentaire dont l’origine n’est pas les migrants.
Membres de la Garde de défense slovène
Récemment, la police a été confrontée à un problème supplémentaire dont l’origine n’est pas les migrants. Sur les réseaux sociaux notamment, la désinformation ou les fausses informations sur les crimes contre l’intégrité sexuelle qui seraient commis par les migrants se multiplient. Toutes ces informations sont vérifiées par la police, même s’il ne s’agit pas d’un événement réel. Après avoir enquêté sur un événement qui ne s’est pas produit, il passe ensuite une semaine supplémentaire à informer le public qu’il s’agit d’une désinformation ou d’un mensonge. Lorsque les enregistrements cèdent simplement la place à d’autres nouvelles, le cycle se répète généralement avec une nouvelle information tout aussi fausse. Tout cela a également des conséquences sur la perception qu’a le public de la criminalité sexuelle des migrants, car on donne l’impression que ces incidents sont bien plus nombreux qu’il n’y en a réellement. Parallèlement, selon nos informations, la police constate également une multiplication des annonces de marches et d’affrontements avec des étrangers de pays tiers et des menaces de ce genre sur les réseaux sociaux.
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