La plupart des membres de l’AFPC s’opposent à la mise à jour de la politique de télétravail, selon un sondage

Liens vers le fil d’Ariane

Les détails du sondage mené auprès de plus de 65 000 membres de l’AFPC ont été publiés mardi.

Recevez les dernières nouvelles de Catherine Morrison directement dans votre boîte de réception

Publié le 26 juin 2024 • Dernière mise à jour il y a 13 heures • 3 minutes de lecture

Vous pouvez sauvegarder cet article en vous inscrivant gratuitement ici. Ou connectez-vous si vous avez un compte.

Des grévistes de l’AFPC sur le chemin Heron à Ottawa le 21 avril 2023. Photo de Jean Levac /Postmedia

Contenu de l’article

Un sondage mené par l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) indique que la plupart des membres sont contre la nouvelle exigence du gouvernement selon laquelle les fonctionnaires doivent être au bureau au moins trois jours par semaine, et la plupart des répondants sont également prêts à agir et à déposer un grief. .

Les détails du sondage mené auprès de plus de 65 000 membres de l’AFPC ont été publiés mardi.

Publicité 2

Cette publicité n’a pas encore été chargée, mais votre article continue ci-dessous.

CE CONTENU EST RESERVE AUX ABONNES UNIQUEMENT

Abonnez-vous maintenant pour lire les dernières nouvelles dans votre ville et partout au Canada.

  • Articles exclusifs d’Elizabeth Payne, David Pugliese, Andrew Duffy, Bruce Deachman et d’autres. De plus, des critiques culinaires et des listes d’événements dans le bulletin hebdomadaire, Ottawa, Out of Office.
  • Accès en ligne illimité à Ottawa Citizen et à 15 sites d’information avec un seul compte.
  • Ottawa Citizen ePaper, une réplique électronique de l’édition imprimée à consulter sur n’importe quel appareil, à partager et à commenter.
  • Des énigmes quotidiennes, y compris les mots croisés du New York Times.
  • Soutenez le journalisme local.

ABONNEZ-VOUS POUR DÉBLOQUER PLUS D’ARTICLES

Abonnez-vous maintenant pour lire les dernières nouvelles dans votre ville et partout au Canada.

  • Articles exclusifs d’Elizabeth Payne, David Pugliese, Andrew Duffy, Bruce Deachman et d’autres. De plus, des critiques culinaires et des listes d’événements dans le bulletin hebdomadaire, Ottawa, Out of Office.
  • Accès en ligne illimité à Ottawa Citizen et à 15 sites d’information avec un seul compte.
  • Ottawa Citizen ePaper, une réplique électronique de l’édition imprimée à consulter sur n’importe quel appareil, à partager et à commenter.
  • Des énigmes quotidiennes, y compris les mots croisés du New York Times.
  • Soutenez le journalisme local.
Lire aussi  Plus de moyens pour les citoyens néo-zélandais d'obtenir un pass de voyage COVID-19 maintenant

INSCRIVEZ-VOUS / CONNECTEZ-VOUS POUR DÉBLOQUER PLUS D’ARTICLES

Créez un compte ou connectez-vous pour continuer votre expérience de lecture.

  • Accédez à des articles de partout au Canada avec un seul compte.
  • Partagez vos réflexions et rejoignez la conversation dans les commentaires.
  • Bénéficiez d’articles supplémentaires chaque mois.
  • Recevez des mises à jour par e-mail de vos auteurs préférés.

Connectez-vous ou créez un compte

ou

Contenu de l’article

L’étude a révélé que 91 pour cent des personnes interrogées étaient fortement opposées à cette politique, avec 64 pour cent « susceptibles ou très susceptibles » de déposer une plainte et 75 pour cent disposés à prendre des mesures pour lutter contre les nouvelles règles.

L’enquête a également révélé que moins de la moitié des répondants avaient pleinement mis en œuvre une politique de deux jours par semaine au bureau avant la mise à jour du mandat de télétravail.

« Les membres de l’AFPC s’opposent massivement au mandat malavisé du gouvernement en matière de télétravail », a déclaré le syndicat dans un communiqué de presse. « Ils sont à juste titre mécontents que leur employeur apporte des changements unilatéraux à leur environnement de travail sans justifier cette décision par des données. »

Le gouvernement fédéral a mis à jour sa politique sur le travail à distance début mai, exigeant que les fonctionnaires passent trois jours par semaine au bureau d’ici la mi-septembre. Les cadres devront être sur place au moins quatre jours par semaine.

Auparavant, comme annoncé en décembre 2022, les fonctionnaires devaient être sur place au moins deux ou trois jours par semaine, la mise en œuvre complète ayant lieu en mars 2023.

La décision a suscité la frustration des employés et des syndicats, dont certains ont déposé des plaintes pour pratiques de travail déloyales et des griefs de principe, qui affirment n’avoir pas été consultés au sujet du changement.

Lire aussi  Pratiquement parfait : vous ne pouvez pas battre le fret en matière d'utilité et de style | Mode

Publicité 3

Cette publicité n’a pas encore été chargée, mais votre article continue ci-dessous.

Contenu de l’article

Le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) a confirmé qu’il n’avait entrepris aucune étude sur la productivité ou la collaboration avant de prendre cette décision.

La présidente du Conseil du Trésor, Anita Anand, a déclaré précédemment à ce journal que la mise à jour de la politique était une décision administrative prise par le SCT, en collaboration avec le Conseil privé et les sous-ministres de tout le gouvernement. La ministre a déclaré qu’elle avait et continuerait de donner la priorité aux relations avec les syndicats.

Anand a été invité à commenter cette histoire. Un communiqué de son attaché de presse envoyé mercredi après-midi indique : « La ministre Anand a donné et continuera de donner la priorité aux relations en cours avec les syndicats. Le ministre et notre équipe ont rencontré à plusieurs reprises des dirigeants syndicaux de l’ensemble de la fonction publique pour discuter de sujets de préoccupation. Notre gouvernement continuera de donner la priorité à la prestation de services de haute qualité tout en assurant une gestion prudente de l’argent des contribuables.

Selon le sondage de l’AFPC, 91 pour cent des membres se sont dits préoccupés par les dépenses liées à des choses comme le stationnement et la garde d’enfants, s’ils devaient se rendre au bureau plus régulièrement. D’autres préoccupations concernaient le temps de trajet et le transport (90 pour cent), l’équilibre travail-vie personnelle (89 pour cent), l’impact environnemental (84 pour cent), la santé mentale (83 pour cent), les responsabilités en matière de prestation de soins (73 pour cent), le manque d’espace de travail. (79 pour cent) et la satisfaction au travail (80 pour cent).

Publicité 4

Cette publicité n’a pas encore été chargée, mais votre article continue ci-dessous.

Contenu de l’article

Dans un communiqué de presse, l’AFPC a déclaré avoir également mené un sondage auprès de 2 000 Canadiens par l’intermédiaire d’Abacus Data, qui a révélé que 69 pour cent des Canadiens estimaient que c’était « une bonne idée pour les employeurs de permettre à leurs employés de travailler à domicile à temps plein ou à temps partiel ». temps.”

Lire aussi  Presque tous les enfants transgenres conservent une nouvelle identité 5 ans plus tard

« Une majorité de répondants croient également que le gouvernement fédéral devrait donner l’exemple et offrir des modalités de travail flexibles lorsque cela est possible », a déclaré l’AFPC.

Un sondage de l’Institut Angus Reid mené auprès de plus de 1 900 Canadiens a toutefois révélé que la majorité des répondants (59 pour cent) appuyaient la nouvelle politique du gouvernement.

Pour l’avenir, l’AFPC a déclaré qu’elle « continuera à faire pression sur le gouvernement » dans les semaines à venir, soulignant que ses membres ont récemment adopté une résolution demandant au syndicat de développer une campagne nationale sur le télétravail.

Peu après l’annonce, les dirigeants syndicaux de l’AFPC, de l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP), de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) et de l’Association canadienne des agents financiers (ACFO) ont déclaré que le gouvernement devrait se préparer à un « un été de mécontentement.

Publicité 5

Cette publicité n’a pas encore été chargée, mais votre article continue ci-dessous.

Contenu de l’article

Même si des rassemblements et des campagnes de rédaction de lettres ont été organisés dans les semaines suivantes et que l’ACEP s’est retirée du comité gouvernemental sur le télétravail, il n’a pas encore été annoncé quelles autres mesures seront prises par les syndicats pour lutter contre le mandat.

« Nous envoyons un message clair : les employeurs ne peuvent ignorer les droits des travailleurs négociés dans le cadre des négociations collectives », a déclaré l’AFPC dans le communiqué.

Notre site Web est votre destination pour les dernières nouvelles, alors assurez-vous de mettre notre page d’accueil dans vos favoris et de vous inscrire à nos newsletters afin que nous puissions vous tenir informé.

Recommandé par l’éditorial

  • Le plan du gouvernement pour améliorer l’accès à l’information ne suffit pas, selon le commissaire à l’information

  • Le gouvernement fédéral met à jour sa politique et exige que les fonctionnaires travaillent au bureau trois jours par semaine d’ici septembre

  • Contenu de l’article

    Partagez cet article sur votre réseau social

    Leave a Reply

    Your email address will not be published. Required fields are marked *

    This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

    Recent News

    Editor's Pick