La santé mentale doit être considérée comme une composante du bien-être général, déclare un professionnel de la santé mentale

La santé mentale doit être considérée comme une composante du bien-être général, déclare un professionnel de la santé mentale

L’École de travail social Roshni Nilaya a organisé une conférence nationale sur le thème « Le bien-être durable : un catalyseur vers une vie collective » à Mangaluru le 1er mars 2024. | Crédit photo : Arrangement spécial

L’École de travail social Roshni Nilaya a organisé vendredi une conférence nationale sur « Le bien-être durable : un catalyseur vers la vie collective » en association avec la Cellule interne d’assurance qualité.

S’exprimant après avoir inauguré la conférence ici, Rameela Shekhar, professionnelle de la santé mentale et formatrice au Centre de conseil, de recherche et de formation Manashanthi, Mangaluru, a souligné l’importance de promouvoir la durabilité et de sensibiliser aux divers aspects de la santé, en particulier le bien-être mental et psychologique.

Elle a souligné la nécessité de lutter contre la stigmatisation entourant la santé mentale, qui empêche souvent les individus de demander de l’aide et entraîne des conséquences durables sur les individus, la société et l’économie. Mme Shekhar a souligné l’importance des professionnels de la santé mentale dans la société d’aujourd’hui, en particulier dans la période post-pandémique, et a préconisé de considérer la santé mentale comme une composante du bien-être général plutôt que de se concentrer uniquement sur la maladie mentale.

Elle a en outre souligné l’importance de partager ses expériences personnelles et d’utiliser un langage sensible et solidaire lorsqu’on parle de santé mentale.

Le discours de Mme Shekhar a souligné la nécessité urgente de déstigmatiser les problèmes de santé mentale et de favoriser une approche plus inclusive et plus compréhensive du bien-être mental dans la société.

La directrice adjointe de l’école, Jenis Mary, a souligné l’importance du bien-être holistique et de la convivialité, comme mentionné dans les Saintes Écritures.

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Elle a déclaré qu’il était important de surveiller ses pensées, car elles ont un impact considérable sur la vie d’une personne moyenne ayant 70 millions de pensées par jour. Il faut cultiver la pensée positive et analyser comment ses pensées se manifestent en soi. Un comportement durable valorisant les personnes, la vie et les ressources doit être cultivé.

Rosa Nimmy Mathew, responsable du département de conseil, a parlé du thème de la conférence.

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