Chevaucher Hermès pour enregistrer des revenus

Chevaucher Hermès pour enregistrer des revenus

Retour quand Axel Dumas était en charge des opérations de vente au détail pour Hermès en France, à partir de 2005, une de ses missions consistait à visiter tous les magasins de l’entreprise. “Mon objectif n’a jamais été d’obtenir l’adresse [before I went]», explique Dumas, aujourd’hui PDG de la marque familiale, fondée en 1837, il y a six générations de sa famille. “Ma théorie était que si nous avions le bon emplacement, je serais capable de le trouver au toucher.” Il irait au centre de la ville qui figurait sur sa liste ce jour-là et suivrait son nez, qui est aquilin et ajoute à la ressemblance qu’il porte avec la muse de la Nouvelle Vague de François Truffaut, Jean-Pierre Léaud. « Je chercherais un quartier agréable, où les gens travaillaient. C’était facile.”

La scène des achats physiques est paniquée depuis des années, alors que le commerce électronique grignote ses fondations, les centres commerciaux s’effondrent et les grands magasins tentent de se sortir de la faillite. Les magasins sont ennuyeux, dit la sagesse conventionnelle. Des multinationales comme Gap et Sephora déploient des gadgets technologiques comme des cabines d’essayage VR et des assistants de maquillage virtuels. S’il y a une bouée de bonnes nouvelles flottant au-dessus d’une surface industrielle pessimiste, c’est bien la boîte orange d’Hermès. Depuis le milieu des années 2010, alors que les gros titres annoncent «l’apocalypse du commerce de détail» et que le métaverse qui approche à grands pas menace de devenir un centre commercial dématérialisé, Hermès s’est penché sur les magasins physiques.

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