Les responsables de l’ambassade américaine à Londres ont dû envoyer quelqu’un du département du shérif de Santa Barbara au domicile du prince Harry et de Meghan Markle à Montecito pour leur faire savoir que le prince Philip était décédé.
Selon TMZ, l’ambassade a fait plusieurs tentatives pour joindre le couple pour leur annoncer la triste nouvelle. Leurs efforts ont été vains car leurs appels ont été passés avant 3 heures du matin. Naturellement, le duc et la duchesse de Sussex dormaient profondément. L’Angleterre a après tout huit fuseaux horaires devant la Californie.
L’ambassade a finalement dépêché la police dans leur domaine. Un officier est entré en contact avec une personne du manoir, qui a ensuite informé le couple d’appeler immédiatement l’ambassade. C’est ainsi que le prince Harry et Meghan Markle ont appris que le prince Philip était mort.
Ils savaient une heure avant que le palais de Buckingham ne publie une déclaration à midi pour annoncer le décès du duc le matin du 9 avril au château de Windsor. Au moment de l’annonce, il était 4 heures du matin à Los Angeles. La famille royale aurait voulu que le duc et la duchesse de Sussex entendent parler de la mort du prince Philip par eux et non par les médias. Ainsi, la raison de l’appel précoce.
L’homme de 36 ans s’est envolé pour Londres pour dire au revoir à son grand-père. Il a rejoint le cortège et le service funèbre. C’était une réunion inattendue pour les membres de la famille royale qui n’ont pas vu le prince Harry en personne depuis un an depuis que lui et sa femme ont quitté leurs fonctions de membres de la famille royale en mars de l’année dernière.
Meghan Markle, qui est enceinte de la petite fille du couple, est restée à la maison et a regardé le service depuis leur domicile de Montecito. Des sources ont révélé qu’elle avait pris contact avec la reine Elizabeth II pour la réconforter lorsqu’elle a appris la mort du prince Philip.
Quant au prince Harry, il a partagé que son voyage de retour «l’inquiétait» et qu’il en avait «peur». Il a admis que Londres a toujours été un «déclencheur» de ses crises de panique depuis qu’il a perdu sa mère, la princesse Diana. Mais il s’est appuyé sur des tactiques apprises en thérapie pour l’aider à traverser le mémorial du prince Philip, bien qu’il admette que «le cœur bat toujours».