Sean Everitt a accepté une prolongation de contrat de deux ans qui le lie à Édimbourg jusqu’en juin 2026 – et prendra désormais le titre d’entraîneur-chef.
Everitt a déclaré : “J’ai vraiment apprécié mon séjour ici jusqu’à présent.
“J’ai été très bien accueilli. L’équipe a bien réagi à certaines des nouvelles idées que j’ai apportées. C’est excitant pour l’avenir.”
Il a ajouté : “Pour moi, c’était vraiment une évidence de rester et de poursuivre ce que j’ai mis en place au cours des cinq derniers mois.”
Everitt était initialement désigné comme entraîneur senior, mais il dit que rien ne devrait être interprété dans le changement d’entraîneur-chef.
“Je considère l’entraîneur senior ou l’entraîneur-chef comme un simple titre”, a-t-il déclaré. “Je suis venu ici pour adapter le staff et l’équipe. C’est ce que j’ai fait et c’est ce que je continuerai de faire.”
L’ancien entraîneur des Sharks, qui a travaillé pour la franchise basée à Durban pendant 15 ans, a déclaré que cela faisait toujours partie de son projet de prolonger son contrat.
“Pour les deux parties, il était idéal que nous signions initialement un contrat d’un an”, a-t-il déclaré. “Je devais voir comment je m’adapterais à l’extérieur et voir si c’était le club où je voulais être.
“C’est difficile de quitter la maison et de s’inscrire pour une longue période et, après six mois, on n’aime plus ce qu’on fait. Pour moi, c’est tout le contraire.
“Mes collègues entraîneurs m’ont soutenu à 100% et cela a rendu ma décision très facile de rester.”
Édimbourg est cinquième du United Rugby Championship et a attiré une foule record pour un match de club à Murrayfield à la fin du mois dernier lorsque 37 904 supporters les ont vu battre Glasgow.
“J’étais allé à Murrayfield en tant que spectateur, mais jamais en tant qu’entraîneur auparavant, donc c’était la première fois pour moi”, a ajouté Everitt.
“Quand j’étais jeune, j’ai toujours rêvé de regarder un match de rugby à Murrayfield. Je l’ai fait il y a de nombreuses années, mais y entraîner une équipe était un rêve devenu réalité.”
