La conférence de presse glaciale d’Alexander Zverev dans son intégralité après le procès pour violence conjugale | Tennis | sport

La conférence de presse glaciale d’Alexander Zverev dans son intégralité après le procès pour violence conjugale |  Tennis |  sport

En octobre, un tribunal de Berlin a condamné Zverev à une amende et à des amendes s’élevant à 450 000 euros (387 000 £) après avoir été accusé de « coups et blessures » contre son ex-petite amie. Le joueur de 26 ans a contesté l’ordonnance, ce qui signifie que l’affaire sera désormais soumise à un procès public prévu le 31 mai, qui tombe pendant l’Open de France.

Selon la loi allemande, Zverev est légalement innocent jusqu’à ce qu’une décision finale soit rendue. Il n’est pas obligé de se présenter personnellement au tribunal et peut se faire représenter par son avocat. Le numéro 6 mondial a été interrogé sur le procès qui a suivi sa victoire au premier tour de l’Open d’Australie mardi et sur la question de savoir s’il était approprié de continuer son nouveau rôle après avoir été élu au Conseil des joueurs de l’ATP.

Zverev n’a répondu qu’à quatre questions en anglais, donnant des réponses rapides. Lisez la conférence de presse complète ci-dessous.

Q. Puis-je poser des questions sur le procès en Allemagne ? Pensez-vous qu’il soit approprié de continuer à siéger au conseil des joueurs de l’ATP pendant que cette affaire est en cours ?

ALEXANDER ZVEREV : Pourquoi ne le serait-il pas ?

Q. Eh bien, il y a évidemment un point d’interrogation concernant votre jugement, et c’est le tribunal qui tranchera.

ALEXANDER ZVEREV : Il n’y en a pas.

Q. Avez-vous la confiance de vos collègues joueurs pour continuer à jouer ce rôle ?

ALEXANDER ZVEREV : Oui, je pense que oui. Je veux dire, je pense que oui. Personne ne m’a rien dit. Je n’ai aucune raison de ne pas le croire.

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Q. Il y a des gens dans le coin qui disent que vous ne devriez pas jouer du tout, et encore moins occuper une position de leader. Qu’en pensez-vous ?

ALEXANDER ZVEREV : Comme qui ? C’est ce que disent les journalistes, dont certains sont en fait plus intéressés par cette histoire et par les clics que par la vérité réelle.

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