Les Socceroos ont beaucoup parlé de confiance en soi avant leur match d’ouverture de la Coupe du monde avec la France – puis la réalité est intervenue

Les Socceroos ont beaucoup parlé de confiance en soi avant leur match d’ouverture de la Coupe du monde avec la France – puis la réalité est intervenue

La croyance est une chose puissante. Elle peut déclencher des guerres, alimenter des révolutions et inspirer des religions.

On peut le voir dans des masses de personnes marchant à travers les rivières et tournées vers le Soleil en prière. On peut l’entendre dans un chœur de voix chantant à partir de la même feuille de cantiques, et dans une seule rugissant à travers un mégaphone. Il peut être touché dans les pierres lisses des cathédrales et les pavés rugueux des châteaux construits par de nombreuses mains au fil du temps.

Au cours des dernières semaines, alors que les Socceroos se préparaient pour leur match d’ouverture de la Coupe du monde contre la France, ce mot – croyance – était devenu le fondement sur lequel se construisait l’idée que l’équipe se faisait d’elle-même.

Ce n’était pas toujours dans cet arrangement de lettres, mais c’était là. Qu’il s’agisse de «l’ADN australien» ou d’une référence à «l’esprit» ou à «l’identité» des Socceroos, cette chose intangible était là, posée comme un mortier sous les lignes de chaque joueur et membre du personnel à qui on a demandé comment l’Australie pourrait surpasser le potentiellement insurpassable : les champions en titre de la Coupe du monde.

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