Tout en recevant généralement des éloges pour son apparence époustouflante et son talent pour faire ressortir le meilleur de Drames romantiques coréens, Chanson hye kyo a en fait puisé avec persistance dans une variété de genres, prônant un excellent contenu et élargissant son champ d’action en tant qu’artiste. Les cinq films présentés ici présentent le large éventail de ses talents d’actrice.
Ma fille et moi (2005) – Jeon Yun-su
Cette version coréenne du film japonais Crier l’amour, au centre du mondebasé sur le roman de Kyoichi Katayama Socrate amoureux, a annoncé les débuts sur grand écran de Song Hye-kyo. Dix ans après avoir quitté sa ville natale, Kim Su-ho (Cha Tae-hyun) revient pour sa réunion de lycée. En marchant, il entend la voix d’une fille qui lui fait signe. Il est révélé que le jour en question est le jour où une fille nommée Bae Su-eun (Song) est décédée – quelqu’un qu’il n’a pas encore dépassé.
Dans un flashback, Su-ho est montré en train de sortir avec la charmante et populaire Su-eun. Bien que leurs pairs les envient assez, l’amour du couple est incassable. Leurs vies commencent néanmoins à s’effondrer lorsque Su-ho apprend la tragédie de Su-eun.
Le film est un bel exemple d’une romance chargée d’émotion que les acteurs ont savamment mis en place. Dans mon esprit, Song transcende les stéréotypes dans la façon dont elle sert son personnage.
Hwang Jin Yi (2007) – Chang Yoon-hyun
Ses choix de personnages ont constamment encouragé son ascension. Hwang Jin Yi présente ici un cas alléchant. Song joue le rôle principal, sans doute la courtisane ou “gisaeng” la plus célèbre de l’histoire coréenne, adaptée du célèbre roman de Hong Seok-jung Hwangjini.
Jin-yi, avant de se lancer dans sa vie de gisaeng, couche avec Nomi (Yoo Ji-tae), une fidèle assistante familiale. Avec le temps, elle s’élève comme une seule, extrêmement belle et brillante. Au point d’être au centre de l’attention, choyée par ses clients. Cela, cependant, n’élimine pas son sentiment de solitude à moins qu’un chef de bandit correspondant au profil de Nomi ne se présente dans les environs et ne bouleverse sa vie.
Faites comme chez vous (2008) – Le fils de Soopum
Song a pu sortir de son image trop mignonne grâce à sa représentation nuancée dans Hwang Jin Yi. D’ailleurs, pour élargir ses horizons, elle a endossé un rôle encore plus exigeant dans le film indépendant américain Faites comme chez vous (anciennement intitulé Fétiche).Song a eu une course impressionnante en tant que Sookhy, une femme coréenne vivant dans la banlieue du New Jersey dont l’obsession pour le couple caucasien vivant à côté la rend folle.
Une raison de vivre (2011) – Lee Jeong-hyang
L’actrice, particulièrement habile à faire ressortir les sentiments les plus profonds d’un personnage, a capturé avec finesse la dichotomie des émotions de Da Hae (un réalisateur de documentaires) dans Une raison de vivre. Elle est forcée de réévaluer radicalement sa décision d’être empathique après avoir pardonné au délinquant de 15 ans de son fiancé en apprenant que le gars a tué un camarade de classe peu de temps après son sursis.
Ma vie brillante (2014) – E J-yong
Dae-soo (Gang Dong-won) et Mi-ra (Song) deviennent parents à l’âge de 17 ans et s’enfuient après avoir été désapprouvés par leurs parents. Plus tard, la progeria, une maladie génétique rare provoquant un vieillissement prématuré de ses patients, est découverte chez le fils nouveau-né du couple, Ah-reum (Jo Sung-mok). Son corps de 16 ans est maladif et faible, comparable à celui d’un homme de 80 ans. Il devient évident qu’il est peu probable qu’il vivra jusqu’à son 18e anniversaire. Pour faire face, Ah-reum commence à écrire sur la façon dont ses jeunes parents se sont rencontrés et sont tombés amoureux, s’attendant à le leur offrir en cadeau à ses 17 ans.e anniversaire. Pendant ce temps, les parents s’efforcent de payer ses factures médicales et acceptent la détérioration de l’état d’Ah-reum.
Une histoire sanglante d’amour, de vie et de perte qui vous fait contempler, débordant d’émotions qui persistent longtemps après le générique final. D’excellentes performances, et bien sûr Song, qui incarne d’abord la douce-amère Mi-ra puis un parent souffrant, ne manque pas d’impressionner par son expressivité opportune.