The Blind Boys of Alabama: Echoes of the South review – ensemble gospel riche et émouvant | Américaine

The Blind Boys of Alabama: Echoes of the South review – ensemble gospel riche et émouvant |  Américaine

TLe dernier album de la troupe de gospel porte le nom de l’émission de radio qui les a programmés pour la première fois, en 1944. Les Boys, de l’Alabama Institute for the Negro Deaf and Blind, se sont inspirés de groupes noirs tels que le Golden Gate Quartet, mais sous la direction de Les lois Jim Crow du Sud leur permettaient bizarrement de chanter uniquement du gospel blanc. Depuis ces débuts modestes, le groupe une liste en constante évolution est venu incarner l’Évangile et son esprit de persévérance et de sainteté pour un public mondial, aidé par des collaborations pleines de stars et des reprises inspirées (Waits, Dylan, Stones). Ici, l’accent est mis sur la tradition ; la coqueluche et frénétique Send It On Down et Nothing But Love, le témoignage de You Can’t Hurry God. Les voix – riches et granuleuses, avec parfois un fausset surprenant – sont soutenues par un quatuor minimaliste qui ajoute un swing des années 1940 à Work Until My Days Are Done. Il y a une reprise émouvante et méditative de Friendship, rendu célèbre par Pops Staples, tandis que Keep On Pushin’ de Curtis Mayfield, un morceau d’optimisme en matière de droits civiques, est ici ralenti jusqu’à une résistance obstinée ; tels sont les temps. Le fait que deux membres du groupe soient décédés depuis l’enregistrement ajoute du caractère poignant à The Last Time (We’ll Sing Together), mais les Boys perdurent.

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