Je le considère certainement comme faisant partie de nos intérêts et de nombreux pays de plus de 100 pays ont accepté le net zéro. Nous progressons et nous n’avons pris aucune décision formelle, mais le discours d’aujourd’hui porte sur les changements qui se produisent sur les marchés financiers en raison du changement climatique.
Qu’il s’agisse de la révolution industrielle ou de l’ère numérique, les marchés financiers ont toujours pris en compte ces changements structurels et le changement climatique n’est pas différent et cela a un impact sur l’Australie parce que nous sommes très dépendants des investissements étrangers.
Qu’il s’agisse d’investissements étrangers directs d’une valeur de 4 000 milliards de dollars aujourd’hui ou que ce soient nos banques nationales qui obtiennent environ 20 % de leur financement de l’étranger ou encore qu’il s’agisse de nos obligations d’État, dont environ la moitié sont achetées par des investisseurs étrangers, et je tiens à veiller à ce que l’Australie, d’une part, ne soit pas désavantagée par ce changement structurel des marchés financiers et, d’autre part, puisse en profiter en obtenant de nouveaux investissements dans les énergies renouvelables et d’autres initiatives durables.
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