CBC #TwitterFiles ? La Société Radio-Canada a tenté de convaincre Twitter de censurer les critiques (vidéo) – .

CBC #TwitterFiles ?  La Société Radio-Canada a tenté de convaincre Twitter de censurer les critiques (vidéo) – .

Il ne s’agit pas d’un rapport officiel “Twitter Files”, mais il est très similaire. Rebel News, une plateforme d’information à tendance conservatrice et pro-liberté d’expression au Canada, a obtenu des documents montrant comment la CBC a utilisé son argent et ses relations intimes avec le gouvernement canadien pour tenter de forcer Twitter à censurer ses détracteurs.

Vous vous souviendrez qu’Elon Musk a qualifié la CBC de financée à 69% par le gouvernement (heh) – ce serait donc de l’argent public qu’ils menaçaient de retenir.

Sérieusement, le rapport n’est qu’une partie de l’émission et vaut la peine d’être regardé dans son intégralité :

Le fil publie également de nombreux documents :

En effet, le vétéran de Twitter Files, Matt Taibbi, a prêté main forte :

Les réactions ont été rapides :

Il h.

Nous ne sommes pas surpris non plus, mais c’est bien d’avoir des preuves.

La Constitution canadienne dit : « Chacun a les libertés fondamentales suivantes : liberté de pensée, de croyance, d’opinion et d’expression, y compris la liberté de la presse et des autres moyens de communication. Cela semble assez bien mais, dans la pratique, leur conception de la liberté d’expression est pincée par rapport à celle des États-Unis.

Nous sommes d’accord.

Ils ont mentionné environ cinq pages masquées. Je me demande si Twitter en a une copie sur son disque dur ?

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Remarquez aussi, il y a aussi les appels constants à Twitter pour se censurer, car la réglementation gouvernementale serait pire. Il s’agit d’une tactique courante pour imposer la censure lorsque le gouvernement pourrait ne pas s’en tirer directement. Par exemple, la Motion Picture Association of America ne voulait pas instituer un système de classification pour les films américains, mais a explicitement cité la crainte que le gouvernement essaie de les réglementer comme raison pour laquelle ils en ont institué un. La même chose peut être dite pour le Entertainment Software Ratings Board ou ESRB qui évalue les jeux vidéo et la Comics Code Authority qui a étouffé la créativité dans les bandes dessinées pendant des années. Ce dernier contenait des interdictions absolues qui duraient depuis des décennies et qui comprenaient des règles telles que :

Les crimes ne doivent jamais être présentés de manière à créer de la sympathie pour le criminel, à susciter la méfiance à l’égard des forces de la loi et de la justice ou à inspirer aux autres le désir d’imiter les criminels.

Les policiers, les juges, les fonctionnaires et les institutions respectées ne doivent jamais être présentés de manière à créer un manque de respect pour l’autorité établie.

Des précautions particulières doivent être prises pour éviter les références à des affections physiques ou à des difformités.

Le divorce ne doit pas être traité avec humour ni présenté comme souhaitable.

On pourrait penser que ces différents comités de classement et même les restrictions de contenu imposées aux bandes dessinées sont une bonne idée, mais ils ne devraient jamais être adoptés face à la réglementation gouvernementale. Ils devraient être adoptés librement, avec au plus la pression sociale et économique des parents, et non du gouvernement.

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De plus, ces tactiques sont insidieuses. On pourrait dire, par exemple, “si vous êtes une entreprise de jeux, pourquoi ne pas simplement lutter contre n’importe quelle réglementation?” La réponse est qu’il en coûte de l’argent pour avoir ce combat, donc même en supposant qu’ils gagneraient, ils seraient hors des coûts associés au litige – et cela suppose qu’ils gagneraient. La Cour suprême n’a pas toujours été très favorable à la liberté d’expression dans les formes modernes de communication. Donc, oui, l’autorégulation pourrait être meilleure, sauf si l’on considère les dommages causés à la liberté d’expression.

C’est aussi une réponse aux David Frenchs du monde qui prétendent que toute cette censure des médias sociaux que nous avons vue ces dernières années est juste action privée. Très souvent, c’est en fait le produit de la pression gouvernementale.

Enfin, les lecteurs avec de longs souvenirs se souviendront du nom d’Ezra Levant de ses propres luttes contre la censure canadienne :

La CBC semble presque déçue.

***

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