Plus tôt que la normale et deux fois plus d’infections : certaines régions d’Amérique du Sud connaissent la pire épidémie de dengue jamais vue

Plus tôt que la normale et deux fois plus d’infections : certaines régions d’Amérique du Sud connaissent la pire épidémie de dengue jamais vue

Ces dernières semaines, les critiques à l’encontre du gouvernement du président Javier Milei se sont fait de plus en plus fortes. Il lui est notamment reproché d’avoir agi bien trop tard pour remédier au manque de sprays anti-moustiques et à leur prix élevé. Il consacrerait également trop peu d’argent aux campagnes d’information.

Le gouvernement a également refusé d’inclure le vaccin contre la dengue Qdenga du Japon dans la campagne de vaccination, qui a été menée au Brésil. Selon le gouvernement, le vaccin est encore dans une phase trop expérimentale.

Il existe deux vaccins contre la dengue, explique Van Bortel, “mais on ne peut pas les administrer à tout le monde”. “En fait, il faut déjà avoir eu la dengue avant de pouvoir se faire vacciner.” Il faut également savoir que le vaccin ne peut pas prévenir la maladie, mais peut seulement la limiter.

Entre-temps, le gouvernement Milei a déjà supprimé les droits d’importation sur les sprays anti-moustiques étrangers pendant 30 jours afin d’éliminer la pénurie. Le gouvernement a également promis de stimuler la production nationale.

Pour ceux qui envisagent de voyager en Amérique du Sud, Van Bortel a un conseil important : protégez-vous surtout pendant la journée, car le moustique de la fièvre jaune et le moustique tigre sont actifs pendant la journée. Dormir sous une moustiquaire ne suffira pas.

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