Critique et classement du film Darlings {3/5} : Hey Darlings, le film d’Alia Bhatt-Vijay Varma donne suffisamment de raisons pour dire “je t’aime”

Critique et classement du film Darlings {3/5} : Hey Darlings, le film d’Alia Bhatt-Vijay Varma donne suffisamment de raisons pour dire “je t’aime”

Histoire

Situé dans la ville animée de Mumbai, Darlings s’ouvre avec Badrunissa AKA Badru (Alia Bhatt) attendant son petit ami Hamza (Vijay Varma), qui arrive avec une bonne nouvelle et un ours en peluche rose avec ‘Je suis désolé‘ écrit dessus. C’est l’heure d’une pose romantique dans la rue animée, Darlings !

Trois ans plus tard, nous voyons cet ours en peluche rose allongé dans un coin du balcon de la maison de Badru et Hamza, désormais mariés. Il est remplacé par la violence physique de Hamza qui est souvent perpétuée par son amour pour sa boisson. La nuit, il la bat. Le matin, il la loue pour la «meilleure omelette du monde».

“Kaunsi shaadi mein miyaan biwi ke jhagde nahi hote hain. Sabki patang atakti hain na idhaar. Hum aajke couple hain. Thoda aapse mein rehte hain lovey dovey,”
il lui parle gentiment. Plus tard, lorsque les yeux de la mère de Badru, Shamshu (Shefali Shah), tombent sur l’ecchymose sur son cou et demande,

‘Ab kya ki?
‘ Cette dernière le cache avec sa tresse et forcement un sourire dit : ‘Kankad’, comme si elle avait fait la paix avec le comportement de Hamza.

Jusqu’à ce que les choses prennent une tournure tragique un jour, et Badru et sa fougueuse mère Shamshu décident de prendre l’affaire en main et décident d’adopter une approche œil pour œil. Zulfi (Roshan Mathew), un écrivain en herbe qui vend des biens volés pour gagner sa vie, devient plus tard un livreur pour le service «dabba» de Shamshu.

Direction

Direction

Le réalisateur débutant Jasmeet Reen et l’écrivain Parveez Sheikh écrivent une histoire qui met en avant le sujet de la violence domestique. Au lieu d’opter pour les frissons de justicier que le cinéma grand public hindi fait généralement, le duo a les démons vêtus de rires et de tragédies. À l’exception de Zulfi et de l’inspecteur Tawde (Vijay Maurya), il est intéressant de voir comment tous les personnages sont trempés dans une certaine nuance de gris.

Alors que la façon dont le film traite du concept de “tit for tat” lorsqu’il s’agit d’un sujet sérieux comme la violence conjugale peut susciter des réactions mitigées, Reen s’assure de ramener haut et fort la situation dans son ensemble.

En parlant du “non”, l’écriture devient répétitive après un certain point dans la seconde moitié et l’humour fluide se tarit. Quelques éléments semblent à moitié cuits.

Les performances

Les performances

Après

Gangubaï Kathiawadi
Alia Bhatt réalise une autre performance remarquable dans

Chéris

ce qui prouve qu’il n’y a pas d’arrêt pour cette fille. En tant que Badru, l’actrice apporte une mesure égale de vulnérabilité et de courage. De l’amour, du chagrin à la colère déchaînée, Bhatt embrasse chaque émotion comme la sienne, même lorsque l’écriture est un peu floue.

Tout comme la façon dont son personnage Shamshu canalise son chef intérieur pour concocter des délices appétissants, Shefali Shah nous offre une performance habile qui frappe fort même lorsqu’aucun dialogue n’est donné. C’est une mercurielle qui n’a pas peur de regarder chaque difficulté dans les yeux.

Mais, le voleur de spectacle du film est Vijay Varma qui livre l’une de ses performances les plus engageantes en tant que Hamza. La façon dont il passe d’une terreur absolue à tout amoureux et vice-versa, vous garde à fleur de peau. Il y a une certaine qualité sinistre dans son personnage qui vous donne la chair de poule.

Roshan Mathew en tant que Zulfi emballe un coup de poing même nécessaire. La façon dont les créateurs nous taquinent avec sa chimie avec l’un des personnages est percutante bien que brève. Le reste du casting qui comprend Rajesh Sharma, Vijay Maurya et Kiran Karmarkar, est efficace.

Aspects techniques

Aspects techniques

La cinématographie habile d’Anil Mehta est détaillée et constitue un élément essentiel de la narration. Alors qu’il se contente de la palette de couleurs rose et bleu pour exprimer l’oppression à l’intérieur de la maison, il y a des moments où nous voyons l’utilisation de tenues et d’objets de couleur rouge qui symbolisent le besoin de force et d’agression de Badru dans les limites de sa maison. Le montage de Nitin Baid apporte juste la quantité de tension requise dans le récit.

Musique

Musique

Les paroles de Gulzar associées à la musique de Vishal Bhardwaj confèrent différentes ambiances au récit. Cependant, notre choix dans l’album serait “Pleaj” de Mika Singh, qui est tout ce qui est excentrique.

Verdict

Verdict

Dans une situation cruciale, Shamshu demande à Badru,

“Jab Allah miya goodlucks baant rahe thhe toh hum log kahan thhe?”

A cela, elle répond,

“Shaayad TV pe khaana khajaana dekh rahe le woh pe casque pe.”

Cependant, lorsqu’il s’agit de

Chéris
malgré quelques dérapages, les fabricants ont la chance de leur côté et s’assurent de livrer des performances absorbantes dans votre assiette.

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