Le président Biden a déclaré au monde lundi qu’il ne regrettait pas sa décision de se retirer rapidement d’Afghanistan, ni même la manière chaotique et incompétente dont le retrait a été exécuté. Il est déterminé à battre en retraite, rebelle à la capitulation et confiant dans la justesse de soumettre le pays au régime djihadiste. Nous doutons que le monde le verra de la même manière dans les jours, les mois et les années à venir.
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M. Biden a refusé d’accepter la responsabilité du retrait bâclé tout en blâmant les autres. Il a blâmé l’accord de paix de Donald Trump avec les talibans et a faussement affirmé à nouveau qu’il était piégé. Il a reproché à ses trois prédécesseurs de ne pas être sortis d’Afghanistan. Il a reproché aux Afghans de ne pas s’être suffisamment battus, à leurs dirigeants d’avoir fui et même aux Afghans qui nous ont aidés de ne pas partir plus tôt. Le seul groupe qu’il n’a visiblement pas blâmé était les talibans, qui ont autrefois hébergé Oussama ben Laden et pourraient protéger son successeur terroriste.
Le président a fait un clin d’œil aux scènes horribles qui se déroulent à Kaboul et en particulier à l’aéroport, mais encore une fois sans aborder les erreurs qui y ont conduit. Si les États-Unis n’avaient pas abandonné la base aérienne de Bagram, désormais contrôlée par les talibans, les États-Unis n’auraient plus à lutter pour contrôler l’aérodrome commercial de Kaboul.
Les scènes chaotiques à l’aéroport, avec des Afghans pendus à un avion militaire américain et deux tombant du ciel vers la mort, seront les images indélébiles de cette débâcle. Ils sont l’écho du 11 septembre, avec des gens tombant du ciel, que M. Biden n’avait pas anticipé lorsqu’il a choisi le 20e anniversaire du 11 septembre comme date limite de retrait.
Au lieu de prendre ses responsabilités, M. Biden a joué sur le sentiment des Américains qui en ont assez des missions militaires étrangères. C’est un argument puissant de parler d’envoyer un enfant risquer sa vie dans un pays étranger, et cela trouvera sans aucun doute un écho auprès de nombreux Américains. C’est une question que tout président devrait se poser.
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Biden en Afghanistan : Drop Dead
Le président Biden a déclaré au monde lundi qu’il ne regrettait pas sa décision de se retirer rapidement d’Afghanistan, ni même la manière chaotique et incompétente dont le retrait a été exécuté. Il est déterminé à battre en retraite, rebelle à la capitulation et confiant dans la justesse de soumettre le pays au régime djihadiste. Nous doutons que le monde le verra de la même manière dans les jours, les mois et les années à venir.
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M. Biden a refusé d’accepter la responsabilité du retrait bâclé tout en blâmant les autres. Il a blâmé l’accord de paix de Donald Trump avec les talibans et a faussement affirmé à nouveau qu’il était piégé. Il a reproché à ses trois prédécesseurs de ne pas être sortis d’Afghanistan. Il a reproché aux Afghans de ne pas s’être suffisamment battus, à leurs dirigeants d’avoir fui et même aux Afghans qui nous ont aidés de ne pas partir plus tôt. Le seul groupe qu’il n’a visiblement pas blâmé était les talibans, qui ont autrefois hébergé Oussama ben Laden et pourraient protéger son successeur terroriste.
Le président a fait un clin d’œil aux scènes horribles qui se déroulent à Kaboul et en particulier à l’aéroport, mais encore une fois sans aborder les erreurs qui y ont conduit. Si les États-Unis n’avaient pas abandonné la base aérienne de Bagram, désormais contrôlée par les talibans, les États-Unis n’auraient plus à lutter pour contrôler l’aérodrome commercial de Kaboul.
Les scènes chaotiques à l’aéroport, avec des Afghans pendus à un avion militaire américain et deux tombant du ciel vers la mort, seront les images indélébiles de cette débâcle. Ils sont l’écho du 11 septembre, avec des gens tombant du ciel, que M. Biden n’avait pas anticipé lorsqu’il a choisi le 20e anniversaire du 11 septembre comme date limite de retrait.
Au lieu de prendre ses responsabilités, M. Biden a joué sur le sentiment des Américains qui en ont assez des missions militaires étrangères. C’est un argument puissant de parler d’envoyer un enfant risquer sa vie dans un pays étranger, et cela trouvera sans aucun doute un écho auprès de nombreux Américains. C’est une question que tout président devrait se poser.
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