Les 10 meilleurs films de Johnny Depp

Les 10 meilleurs films de Johnny Depp


Johnny Depp Il débute sa carrière d’acteur en 1984 après sa participation à Cauchemar sur Elm Streetun premier rang qui suffirait au natif du Kentucky pour développer une carrière suffisamment marquante pour qu’il Tim Burton le choisira comme sa fée Frankenstein.Edward Scissorhands», et le reste appartenait à l’histoire.

Possédant un charisme et une excentricité qui ont rapidement fait de lui une icône hollywoodienne dans les années 90, Johnny a fourni ses services d’acteur et de « cirque » dans plus de 90 génériques, se produisant selon les besoins en tant qu’acteur dramatique (généralement dans des films autobiographiques appartenant au genre thriller ou dans les mélodrames) ou, en clown effacé habillé en pirate, barbier, chapelier, indien, toxicomane, caméléon, détective paranormal, chocolatier, vampire et/ou escroc, dans tous manipulant le même personnage avec les mêmes registres et caporal , des nuances vocales et faciales qui ont réussi à le distinguer et à en faire peut-être la figure histrionique la plus surfaite de tous les temps.

Johnny Depp - noir et blanc

Mais tout n’a pas été qu’ombres et absurdités dans sa carrière, puisque l’acteur aujourd’hui âgé de 59 ans a récolté 15 nominations entre les Oscars, les Globes et les BAFTA et a même réussi à donner quelques performances dignes de mémoire, toutes par hasard dans le performance biographique donnant vie à un travesti, un écrivain, un réalisateur et un couple de gangsters.

Nous passons en revue les 10 meilleures performances de Jean Christophe Depp II.

Bonus – Un cauchemar sur Elm Street (Wes Craven, 1984)

PAR FLACO CACHUBI

Au milieu de la fureur provoquée par les tueurs en série masqués, a émergé la figure d’un personnage qui n’a caché ni son visage défiguré ni son identité, il s’agit de Freddie Krueger, un monstre aussi repoussant que charismatique né des entrailles de la culture pop. Avec A Nightmare on Hell Street, Craven a innové dans le genre en explorant l’une des peurs les plus courantes mais les moins abordées au cinéma, la peur de mourir subitement dans notre sommeil. L’imagerie visuelle et la bande sonore sombre de Charles Bernstein (y compris le thème 1, 2, Freddy vient pour vous…) ont abouti à un produit complet, un exemple de la façon de filmer un film extraordinaire avec peu d’argent mais beaucoup d’inventivité. C’était les débuts de Johnny Depp

10 – Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl (Gore Verbinski, 2003)

PAR LE FETT

Aventure très acceptable et divertissante (et la seule de toute la saga) qui a marqué l’entrée dans la célébrité pour la jeune Anglaise de 18 ans. Verbinski, ayant le champ libre dans son adaptation, décide de transformer le cliché d’aventure en une histoire de pirate chorale où tous ses personnages ont une sorte d’interférence, ce qui fait du film une démonstration de bon rythme, de séquences, de musique et d’alchimie entre ses acteurs. Il est remarquable de voir à quel point Keira se démarque dans l’histoire, démontrant à quel point elle pourrait être une bonne actrice et à quel point Orlando Bloom a toujours été un mauvais acteur. De même, bien que Johnny Depp soit toujours Johnny Depp mais habillé en pirate, c’est grâce à Rush et à d’autres seconds rôles que le film a gagné une sorte de respect au sein du genre.

9 – Sleepy Hollow (Tim Burton, 1999)

PAR LE FETT

Sleepy Hollow, pour certains, rectifierait le chemin de Tim Burton, et il n’y aurait pas d’erreur, si l’on se réfère au ton sombre et à l’humour implicite de ses œuvres précédentes, cependant, la qualité narrative de l’auteur excentrique a présenté une diminution scandaleuse, dans une intrigue mystérieuse prévisible et présomptueuse qui a à peine atteint une séquence finale qui, bien que mémorable, ne pouvait pas supporter une intrigue ennuyeuse et des performances histrioniques appauvries. Même si l’apparition de Christopher Walken et la présence sensuelle de Ricci éclipseraient le rôle principal de Johnny Depp, il verrait dans son archétype l’un des personnages les plus charismatiques et les plus marquants de son association avec Burton.

8 – Chocolat (Lasse Hallström, 2000)

POR MME. PUNISSEUR

Vous vous souvenez sûrement de la belle Binoche dans son rôle de Vianne Rocher, l’étrange femme qui apparaît avec sa fille dans une petite ville française aux coutumes modestes en 1959. Vianne installe sa « chocolaterie » où, en plus de proposer des choses délicieuses, il se charge également de faire une sorte de psychanalyse pour prescrire le bon chocolat à ses clients. Ses potions, plus qu’une recette, sont un sortilège né des anciennes civilisations d’Amérique centrale (et qui enchanterait un Johnny Depp plus que correct en idole). La beauté du récit peut détourner l’attention du véritable message de l’histoire. « Chocolat » est une rébellion, c’est un cri de protestation contre l’imposition d’une morale absurde.

7 – Rango (Gore Verbinski, 2011)

PAR LE FETT

Une animation surréaliste qui s’est chargée de sauver et de rendre hommage de manière satisfaisante à de nombreux éléments classiques du genre. Ayant pour protagoniste un personnage extraterrestre et étrange pour le décor (Johnny Depp comme un gant), l’histoire a su non seulement positionner les références du genre à 3, le chili, les spaghettis et le western local, mais aussi les participants à ceux-ci. dans une sorte de réincarnation animalisée et/ou spirituelle de Huston, Van Cleef ou Eastwood, ce dernier comme l’esprit de l’Occident, « l’homme sans nom », qui baptise ainsi la personnalité finale du héros pour son duel final, comme un rappel de l’extinction progressive puis de la revitalisation du genre, dont le caméléon semble être le symbole idéal.

6 – Edward aux mains d’argent (Tim Burton, 1990)

PAR LE FETT

Ce n’est pas que ce soit vraiment bon, mais à son époque, c’était assez adorable et assez adepte de l’élan juvénile de Generation. Ce qui ressort outre son atmosphère (qui est encore aujourd’hui son seul vestige de qualité de directive produit), c’est l’inclusion de certains éléments narratifs qui rappellent le cinéma fantastique et/ou monstre classique (sa référence à Frankenstein est plus qu’évidente). , ainsi qu’une certaine critique de la société américaine fondée sur le cynisme, l’image et l’hypocrisie des banlieues. Depp serait catalogué à vie dans ce personnage et Vincent Price trouverait au moins un adieu émouvant au cinéma, conforme à son archétype et à sa légende.

5 – Avant la nuit (Julian Schnabel, 2000)

PAR LE FETT

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Peut-être pour Johnny Depp Au début de sa carrière, il lui manquait davantage de rôles comme ceux-ci, secondaires mais de grande valeur, où, grâce à de petites apparitions, il pouvait développer d’autres types de personnages en dehors de sa zone de confort fatigante et ennuyeuse. Une de ces petites participations s’est produite dans cet excellent biopic de l’écrivain homosexuel cubain Reinaldo Arenas, où Johnny Non pas une, mais deux excellentes performances sont données en tant que lieutenant du Cuba de Castro et en tant que travesti, ceci sous le ton narratif résolu que le réalisateur a voulu donner à une œuvre qui, bien que parfois déroutante, est également d’une grande valeur culturelle grâce à son riche rythme de dialogues et les mêmes performances (Bardem brillant)

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4 – Trouver Neverland (Marc Forster, 2004)

PAR LE FETT

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Il était alors difficile de se débarrasser de l’image de Depp comme la merde “folle” excentrique BurtonPourtant, l’acteur a su, sous la construction d’un scénario assez émotif et de sa mise en scène séduisante (quoique un peu forcée), projeter un JM Barrie très crédible. Le biopic sur l’auteur d’histoires comme Peter Pan est une histoire agile qui combine le mélodrame avec des touches de fantaisie où le décor sert à créer une atmosphère propice à une excellente chimie d’acteur. Ouais, Depp il agit bien, ils l’aident aussi Winslet, Hoffman et Christiemais ici, celui auquel tout le monde faisait attention était le garçon Freddie Highmoreentre autres, la principale raison pour laquelle Johnny il a été contraint d’agir.

3 – Donnie Brasco (Mike Newell, 1997)

PAR LE FETT

Donnie Brasco (affiche) - Johnny DeppDonnie Brasco (affiche) - Johnny Depp

Un peu surfait grâce au fait que son réalisateur était, est et sera complètement inutile. Malgré cela, l’histoire d’un agent du FBI qui se fait passer pour un gangster pour démasquer un réseau mafieux en déclin a suffisamment d’intrigue et de charme d’acteur pour être considérée dans un TOP 30 en la matière. L’introspection psychologique du personnage est à la fois son malheur et sa valeur différentielle ; D’un côté nous avons un scénario qui n’est pas convaincant dans cette action, mais le travail de Johnny Depp aide cela à avancer également grâce aux derniers cours qui Al Pacino J’ai dû donner. Peut-être que le film chancelle sur les ¾ de sa séquence dans un plan où rien ne se passe, mais la conclusion est d’une qualité indéniable.

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2 – Messe noire (Scott Cooper, 2015)

PAR LE FETT

Messe noire (affiche) - Johnny DeppMesse noire (affiche) - Johnny Depp

Le principal problème avec Messe noire n’est pas dirigé par Mann o Scorsese, et l’intéressante histoire du gangster Whitey Bulger aurait pris une autre dimension aux mains de ces cinéastes expérimentés sans avoir négligé tout le contexte politique, social et policier qui compose sa biographie. Le récit tourne uniquement autour du personnage et de la performance, laissant les intrigues secondaires comme des fils fragiles sans aucune cohésion narrative, construits comme des fragments qui modifient le conflit supposé. A propos de tout cela, Depp Pour la première fois de sa carrière, il apparaît imposant non seulement en donnant une interprétation sombre et merveilleuse du gangster de Boston, mais aussi en assumant tout le travail de gestion et généralement histrionique en apportant avec son interprétation la tension nécessaire au développement de l’histoire.

1 – Ed Wood (Tim Burton, 1994)

PAR LE FETT

Ed Wood (affiche) - Johnny DeppEd Wood (affiche) - Johnny Depp

La meilleure cassette Burton Il s’agit également de la première et complète représentation d’acteur de Depp en incarnant le légendaire Edward Wood Jr.., le pire réalisateur. Réalisateur et acteur dans leur plus grande splendeur et association, construisez une pièce culte sur la secte, sur le cinéma, sur la SF, un résumé du jeu d’acteur, de la fantaisie managériale et des rêves d’Hollywood sous un ton aussi sombre, sombre et amusant que la même personnalité de Bois Jr.. L’odyssée est captivante à chaque seconde, depuis la photographie lugubre en noir et blanc, la mise en scène semi-théâtrale et l’alchimie entre tous les acteurs, jusqu’aux aspects de production des costumes, du maquillage et du décor. Johnny Depp Ce n’est que la cerise sur le gâteau et l’élément essentiel pour guider ce merveilleux puzzle de l’un des passages les plus sombres de l’histoire d’Hollywood.

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A propos de l’auteur

El Fat @El_Fat cinecopia.com

Le critique de cinéma le plus réaliste et le plus bâtard qui puisse exister. Entité impitoyable qui a l’honneur de transmettre ses sentiments et sa sagesse aux mortels au meilleur endroit du septième art. Cinéphile dans l’âme et critique brut par vocation. Alter ego du diplômé en marketing et relations publiques Oscar M Rodríguez (FB) Suivez-moi sur Twitter @El_Fett

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