Les injustices endurées par les jeunes amérindiens continuent à ce jour

Les injustices endurées par les jeunes amérindiens continuent à ce jour

NOTE DE L’ÉDITEUR:Chaque semaine, nous postons un extrait de la chronique de Katrina vanden Heuvel sur le WashingtonPost.com. Lisez le texte intégral de la chronique de Katrina ici.

Lorsque Joe Wheeler a été envoyé dans un pensionnat pour jeunes amérindiens dans l’Oklahoma, il dira plus tard à son petit-fils que ses professeurs lui ont enseigné sa première leçon en lui coupant les cheveux. Puis, quand il a parlé Wichita au lieu de l’anglais, ils lui ont fait manger du savon. Et quand il a continué à parler Wichita, ils l’ont battu ou, comme ils diraient, l’ont “civilisé”.

Le supplice que Wheeler a enduré il y a des décennies est typique de ce que des milliers d’enfants ont vécu de 1819 à 1969 dans les plus de 400 internats amérindiens récemment identifiés dans un rapport sans précédent du ministère de l’Intérieur publié le 11 mai. Ces écoles, comme leurs homologues au Canada, étaient des centres d’abus financés par le gouvernement au nom de “l’assimilation”. Le rapport identifie 53 lieux de sépulture associés aux écoles, où au moins 500 enfants qui pourraient être morts dans leurs murs ont été enterrés dans des tombes souvent anonymes.

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Il est tentant de croire que cette histoire horrible est fermement ancrée dans le passé. Mais encore aujourd’hui, d’innombrables jeunes Amérindiens sont privés de leur chance de vivre une vie sûre et épanouissante. Actuellement, les jeunes Amérindiens sont confinés dans le système de justice pour mineurs à trois fois le taux de leurs pairs blancs.

Lisez le texte intégral de la chronique de Katrina ici.

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