Lettre aux lecteurs : La privatisation du système de santé de l’Ontario pourrait être une bonne chose

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“Montrez-moi une incitation et je vous montrerai les résultats”, est une citation célèbre attribuée au prolifique investisseur américain Charlie Munger.

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La privatisation d’éléments du système de santé de l’Ontario peut servir de stratégie pour inciter les acteurs de l’industrie à accroître l’accès aux services (le soir et les fins de semaine) et à les offrir d’une manière plus équivalente aux normes de service à la clientèle trouvées à l’extérieur de l’industrie.

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À l’heure actuelle, les hôpitaux, les cliniques et les services auxiliaires de l’Ontario fonctionnent pour la plupart avec des budgets globaux financés par l’État, ce qui les incite peu à fournir plus de soins plus rapidement, à moindre coût et de la manière la plus « centrée sur le client ».

Les résultats ? Temps d’attente exorbitants, service client médiocre et manque de coordination et d’orchestration des soins. De nombreux Ontariens ont le sentiment d’avoir été oubliés, oubliés et laissés pour compte.

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La recherche de revenus, la génération de marges et la réalisation de bénéfices ont le potentiel d’aligner les incitations entre les prestataires de services de santé et le patient – le client.

À mon avis, un système qui me considère comme une opportunité d’ajouter de la valeur et de fournir tous les services dont j’ai besoin pour prospérer en échange d’une marge est un bien meilleur modèle que le système basé sur des quotas que nous avons aujourd’hui.

Tout est une question d’incitations.

Zain Ismaïl, LaSalle

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