Alors que le travail de DEI fait l’objet d’une surveillance croissante sur les plans social, politique et juridique, les organisations prennent des précautions particulières pour réévaluer leurs efforts de DEI. Les dirigeants ont raison d’envisager le changement, non pas comme une réaction à des réactions négatives, mais pour œuvrer à une vision plus responsable, transparente et réussie de ce que pourrait être la DEI. L’auteur identifie trois choses qui doivent changer : 1) une communication maladroite et riche en jargon, 2) des objectifs et des programmes DEI déconnectés et découplés, et 3) une mesure DEI inexistante ou vaniteuse. Ils identifient également trois éléments qui devraient être maintenus : 1) la réactivité à l’égard de la société dans son ensemble, 2) l’engagement envers des organisations saines et 3) la conviction que nous pouvons être meilleurs.