Polzin aime, n’aime pas | Basket-ball du Wisconsin au Nebraska

Polzin aime, n’aime pas |  Basket-ball du Wisconsin au Nebraska

C’est le type de défaite qui va mettre à l’épreuve la résilience de l’équipe masculine de basket-ball de l’Université du Wisconsin.

Il n’y a aucune honte à perdre au Pinnacle Bank Arena. Mais comme ça ?

Les Badgers ont joué leur pire moitié de saison et l’ont enchaînée avec une prolongation sans intérêt. Le résultat, une défaite 80-72 contre le Nebraska jeudi soir, a fait chuter le Wisconsin à la deuxième place du classement Big Ten avant un énorme affrontement avec Purdue dimanche.

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Voici quelques-unes de mes réflexions sur le jeu :

Ce que je n’ai pas aimé

Les Badgers ont perdu une énorme avance à Lincoln il y a un an, ils n’auraient donc pas dû être trop à l’aise malgré une avance de 16 points à la mi-temps jeudi.

Mais il ne semblait pas y avoir beaucoup d’urgence en seconde période, des deux côtés du terrain.

Commençons par l’offensive, où le Wisconsin est devenu trop content de 3 points. Les Badgers ont terminé avec 31 tentatives au-delà de l’arc, ce qui est bien trop pour une équipe qui aurait dû jouer plus souvent par le poteau.

Steven Crowl n’a terminé qu’avec deux tentatives de tir, tandis que Tyler Wahl en avait cinq.






AJ Storr du Wisconsin, à droite, tire contre Rienk Mast du Nebraska au cours de la première moitié jeudi à Lincoln, Neb.


Rebecca S. Gratz, Associated Press


AJ Storr a terminé avec un record de 28 points, mais sa sélection de tirs continue d’être fragile par moments. Aussi bon qu’il ait été en première mi-temps, je pensais que Storr avait forcé trop de tirs jusqu’au bout.

Les Badgers ont été presque aussi mauvais du côté défensif, où le Nebraska a récolté en moyenne 1,32 point par possession au cours des 25 dernières minutes.

CJ Wilcher (22 points) mérite d’être félicité pour avoir repoussé certains tirs difficiles sortant des écrans.

Mais le Wisconsin ne semblait pas connecté en défense après la mi-temps et cédait trop de terrain sur les entraînements.

• Les revirements ont parfois été un problème pour cette équipe, et cela a été un gros problème contre les Huskers.

Le Wisconsin a terminé avec 16 d’entre eux, dont certains vraiment laids qui étaient le résultat de la perte de sang-froid des Badgers. Storr a réalisé cinq revirements, tandis que Max Klesmit en a réalisé quatre.

Ce que j’ai aimé

J’ai vraiment aimé cette première mi-temps du Wisconsin, où elle a suivi le plan pour gagner sur la route.

Les Badgers ont fait un excellent travail en éloignant la foule presque dès le premier conseil, et deux choses se sont démarquées : Storr, évidemment. Il a marqué les 10 premiers points du Wisconsin et en avait 18 à la mi-temps. Frapper 3 points sur les deuxième et troisième possessions des Badgers du match a donné le ton à Storr.

De plus, les Badgers ont fait un excellent travail en limitant l’apparence des Cornhuskers à 3 points et en les forçant à effectuer des tirs contestés à 2 points. Bien sûr, le Nebraska avait quelques regards, mais ce n’étaient pas des tirs faciles parce que les Badgers faisaient un excellent travail en murant sans commettre de faute.

• La fin de cette superbe première mi-temps s’est déroulée en force avant la mi-temps.

Il semblait que les choses commençaient à déraper pour les Badgers, et le déficit du Nebraska a été réduit à 31-22 sur un tir à 3 points de Wilcher.

Le Wisconsin a monté d’un cran au cours des 3 dernières minutes, et Chucky Hepburn en était l’une des principales raisons.

Hepburn a marqué neuf points au cours des 2:04 finales, dont sept en 29 secondes. Cette rafale comprenait deux interceptions que Hepburn a transformées en lay-ups à l’autre bout, dont un qui a abouti à un jeu à trois points.

Juste comme ça, l’avance du Wisconsin était de 43-27 avant la pause.

Une victoire facile, non ? Pas dans ce bâtiment.

Ce que cela veut dire

Les Badgers (16-5, 8-2 Big Ten) connaissent un revirement assez rapide avant le match contre les Chaudronniers n°2.

Encore une fois, ce n’est pas une mauvaise perte sur le papier. C’est un jeu Quad 1.

Mais quelle sera la réaction de l’équipe de Greg Gard après cet effondrement total ?

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