Volker, Musa Faki et Dilbad, nous les critiquons, et la faute est en nous !!

Volker, Musa Faki et Dilbad, nous les critiquons, et la faute est en nous !!

Actualités et analyses

Ammar Al-Araki
• (Le gouvernement soudanais a laissé entendre) (boycotter) la session du Conseil de sécurité prévue dans deux jours et (reconsidérer) le (mandat) accordé à la Mission de soutien à la transition des Nations Unies (UNTAMS) si le chef de la mission, Volker Peretz, s’adresse aux session).
• Nous avions l’intention d’inclure certains des mots bien utilisés de « distraction et conduite », dans le but de nous arrêter et de réfléchir. Le 17/06/2022 après JC, nous avons rédigé un article d’évaluation et d’analyse sur la politique étrangère du Soudan à travers les époques politiques. depuis l’indépendance jusqu’à l’ère du gouvernement post-révolutionnaire sous le titre (Politique étrangère et conduite… ), et notre article est toujours bloqué sur Internet lorsqu’il a voulu confirmer la véracité de nos attentes à l’époque et ce que le La situation est devenue aujourd’hui en ce qui concerne les relations extérieures du Soudan.
• Nous citons de cet article sa conclusion, qui dit mot pour mot : (De manière générale, et à la lumière des craintes de la communauté internationale et régionale pour ses intérêts au Soudan, et après qu’elle ait perdu patience et en ait eu assez, à la suite de ce chaos et la poursuite de l’absurde crise politique interne, et après l’arrivée de son comité de « facilitation » tridimensionnel – Nations Unies, Union africaine, IGAD – dans une impasse et la suspension de leur initiative, ce qui ouvre la porte à une accélération du rythme des interventions étrangères, qui cette fois peut s’accompagner d’une atteinte réelle et réaliste à la « souveraineté nationale » sans diplomatie, appréciation ou considération, ce à quoi l’opinion générale ne croira pas, et il le considère, comme d’habitude, “conduite libre”.
• C’est exactement ce que fait le ministre des Affaires étrangères Ali Al-Sadiq, que je ne considère pas comme « sincère », en mettant en œuvre ce qu’il dit : « La souveraineté a été usurpée » et « ses os se sont effondrés et se sont effondrés » à cause des affres. de vide et d’anesthésie, en agitant, en avertissant, en dénonçant et en condamnant… etc.
• Les premiers jours de la guerre, et dans les mots et la plume de l’agent et envoyé personnel, le distingué ambassadeur, Dieu Defa, Al-Hajj Ali, et l’ambassadeur bien informé et « l’homme » – notre représentant au milieu des délégués pervers et conspirateurs des Nations Unies – Al-Harith Idris, où la « souveraineté » sentait un peu le parfum de sa dignité humiliée et de sa fierté délibérément et intentionnellement dilapidée. D’une manière qui nous a fait analyser les chaînes satellite et écrire pour les médias avec enthousiasme, fierté et dignité.
• Dans le même contexte, nous avons appris que le ministre de retour d’absence travaille et s’efforce d’obtenir une prolongation pour poursuivre le travail de l’ambassadeur retraité conformément à la loi et aux règlements en vigueur, l’ambassadeur du Soudan en Ethiopie, où le siège de ((l’Union Africaine et les bureaux de Musa Wood Labad)) sont basés. Nous demandons à Dieu que cela ne soit pas le cas. C’est vrai, et si c’est vrai, nous demandons à Dieu de « l’annuler » et pas le décréter.
• L’essentiel et sa conclusion :
– Le ministre absent à l’étranger a “assisté” au début des combats et à la situation houleuse, et “absent” l’agent qui était l’envoyé combattant dans toutes les capitales à l’étranger. Que Dieu rétablisse l’absence de l’agent en tant que “ministre, » et Dieu a laissé le ministre absent « exempté ».


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