La bande de Gaza est devenue une zone de guerre depuis que le Hamas a mené le 7 octobre une attaque surprise transfrontalière contre Israël qui a tué environ 1 200 personnes, pour la plupart des civils, et enlevé plus de 200 personnes en otages.
En réponse, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a déclaré la guerre et s’est engagé à détruire le groupe militant. Les combats à Gaza ont détruit des quartiers, fermé des hôpitaux et fortement réduit l’approvisionnement en médicaments, en électricité, en nourriture et en eau. Les autorités sanitaires de l’enclave dirigée par le Hamas affirment que plus de 13 000 personnes, pour la plupart des femmes et des enfants, ont été tuées – un chiffre qui ne fait aucune distinction entre militants et civils.
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