Critique du film Singapore Saloon : l’histoire de l’opprimé de RJ Balaji a trop de choses à faire

Critique du film Singapore Saloon : l’histoire de l’opprimé de RJ Balaji a trop de choses à faire

Critique du film Singapore Saloon : Les derniers films du réalisateur Gokul mettaient en vedette de grandes stars tamoules, mais n’ont pas eu de bons résultats au box-office. Cette fois-ci, le réalisateur de Junga fait équipe avec RJ, devenu acteur et réalisateur, RJ Balaji, connu pour sa comédie. Singapore Saloon a essayé de combiner dans une certaine mesure la sensibilité du réalisateur Gokul avec celle de l’acteur RJ Balaji, mais dans quelle mesure les deux se rencontrent-ils ? A lire aussi : Entretien exclusif avec RJ Balaji

Critique du film Singapore Saloon : Le protagoniste de RJ Balaji est sorti le 25 janvier.

L’intrigue du Singapore Saloon

Singapore Saloon commence avec la confession stupéfiante de Kathir (RJ Balaji) : il va se suicider. Il raconte ensuite ce qui l’a poussé à prendre cette décision. Le film tourne autour de l’ambition de Kathir de devenir une coiffeuse renommée.

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Il grandit dans une petite ville, où il passe beaucoup de temps avec son ami Basheer (Kishen Das) au salon de coiffure de Chacha (Lal) appelé Singapore Saloon. Il se sent passionné par ce métier, mais il estime que l’éducation est importante et s’arme d’un diplôme d’ingénieur. Son rêve d’ouvrir son propre salon le voit traverser de graves difficultés, financières et autres.

Le père avare de sa femme (Meenakshi Chaudhary) (Sathyaraj) et son propre père lui prêtent de l’argent pour ouvrir le salon de ses rêves, et il ouvre son Singapore Saloon dans un bâtiment en forme intéressante comme le Marina Bay Sands de Singapour. Puis, par un coup du sort majeur, il fait face à un grand désastre juste avant l’ouverture du saloon. Qu’arrive-t-il au rêve de Kathir et à sa vie ?

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Le réalisateur Gokul a essayé de nous raconter l’histoire d’un jeune homme qui ose faire de son rêve une réalité. La première moitié du film est remplie de moments plus légers alors que nous voyons Kathir à l’école et développons son premier béguin. Lorsque Sathyaraj apparaît à l’écran, il y a des éléments plus amusants. Dans la seconde moitié, le réalisateur rend le film vraiment sentimental et séveux.

Ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas

L’écriture est inégale et étant une histoire d’outsider, elle est clichée et ne vous incite pas à le soutenir. Bien qu’il y ait des scènes dans lesquelles vous sympathisez avec le protagoniste ou riez, le thème de la réalisation de votre rêve est souligné à travers plusieurs personnages du film. Le réalisateur aborde également d’autres thèmes sociaux dans le film : la religion, les inégalités économiques, etc.

Le film est en retard par moments et le protagoniste semble être morose tout au long du film pour une raison quelconque. Le film ne devrait-il pas donner de l’espoir au public ?

Coupé aux performances, RJ Balaji est bon et convaincant dans le rôle du coiffeur mais son personnage aurait pu être mieux écrit par le réalisateur. Nous avions besoin de le voir travailler comme coiffeur et perfectionner ses compétences, mais cela manque complètement à Gokul. Comme mentionné précédemment, le rôle de Kathir est riche en sentiments tristes et en drames, ce qui est déprimant.

L’acteur Sathyaraj est superbe dans les scènes où il apparaît avec ses gendres. Les répliques de Sathyaraj ne sont peut-être pas hurlantes, mais la façon dont il les livre et ses expressions vous font rire. Kishen Das et Robo Shankar conviennent à leurs rôles mais Meenakshi Chaudhary n’a pas grand-chose à faire dans le film.

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La musique et les chansons de Vivek-Mervin ne sont pas très moyennes et rien de mémorable. Les camées d’Arvind Swami et Lokesh Kanagaraj animent les débats et ajoutent de l’excitation.

Dernières pensées

L’histoire consistant à faire de la coiffure une profession noble et des coiffeurs en tant que personnes méritant le respect est bonne. Mais le réalisateur Gokul a essayé de rassembler trop d’éléments dans Singapore Saloon et c’est malheureusement son échec.

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